Un concert sous forme de carte d’embarquement vers un univers aux frontières des nombreux styles qui composent la personnalité du batteur guadeloupéen. Le gwo ka, cette musique traditionnelle guadeloupéenne basée sur la percussion, le chant et la danse, mais également le jazz, dont il a été tout autant sevré depuis tout jeune. Lui et son quartet augmenté sont porteurs d’une tradition de mixité, de porosité, de cette créolité qui est l’ADN de ce projet qui entend montrer la diversité formelle que peut prendre la musique gwo ka, trop souvent réduit à un cliché.